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Des médicaments dans l’eau potable

    On boit de l’eau médicamentée ?!?

    La France, avec plus de 3 300 médicaments humains et vétérinaires sur le marché, est le plus grand consommateur de médicaments européen et le 4e mondial. En trente ans, la dépense française consacrée aux médicaments a augmenté de 450 % !

    Plus de la moitié des molécules issues des médicaments sont rejetées par l’organisme humain et finissent ainsi dans nos stations d’épuration. Or, celles-ci ne sont pas prévues pour retenir ces molécules chimiques ni leurs métabolites actifs, qui sont par conséquent renvoyés vers nos robinets d’eau « potable ».

    Entre autres, on trouve à la sortie des stations d’épuration des traces d’antibiotiques, d’antalgiques, d’anti-inflammatoires, d’antidépresseurs, de bêtabloquants, d’hormones, de contraceptifs oraux, etc.

    Ce qui passe inaperçu aux tests sanitaires...

    Malheureusement, ces molécules ne sont pas recherchées officiellement dans notre eau de consommation. Dans la révision de la directive-cadre sur l’eau, la Commission Européenne a bien tenté d’inscrire ces substances dans les cinquante prioritaires à rechercher dans l’eau mais, pour des raisons politiques et surtout économiques, l’opposition des États membres a été plus forte et la proposition a été rapidement rejetée. Il est grand temps d’informer le grand public et l’ensemble des professions sanitaires et agricoles sur les dangers que représente la consommation inconsidérée de médicaments pour l’homme (extrait du Plan national sur les résidus de médicaments dans les eaux du 30 mai 2011).

    En février 2013, l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire) conclut dans son rapport que les risques pour la santé humaine sont minimes, mais reconnaît en même temps qu’elle manque de données sur l’exposition et l’évaluation chroniques sur le long terme. Comment peut-on minimiser ou exclure les effets de ces substances si on manque de données ?

    ...mais pas à la loupe des scientifiques, qui trouvent même de l’héroïne dans l’eau du robinet

    En novembre 2008, Hélène Buzinski, chercheuse au CNRS de Bordeaux qui traque les résidus médicamenteux, perturbateurs endocriniens, antibiotiques, antidépresseurs, anticancéreux, anti-inflammatoires, antalgiques, neuroleptiques, résidus de chimiothérapie, retardateurs de flamme et d’autres médicaments dans les eaux de rivières depuis 2002, alarme les autorités sur la présence d’héroïne et de cocaïne !! Il n’y a même plus besoin de se fournir en stupéfiants illégalement et au prix fort, il suffit tout simplement de boire de l’eau…

    Aucune réglementation française ni européenne n’impose de rechercher dans les rivières ou l’eau de robinet des substances pharmaceutiques ou toxiques de ce type. Depuis cette date, rien n’a changé !

    Le conflit d’intérêts des laboratoires

    L’eau du robinet en France est toujours conforme à nos normes officielles pour la simple raison qu’on ne trouve que ce que l’on cherche… Depuis 2011, nous savons avec certitude que notre eau contient des résidus médicamenteux en tous genres, et en particulier des antibiotiques et hormones qui influent directement sur notre santé.

    Depuis 3 ans, la législation française demande aux fabricants de produits chimiques de démontrer que leurs molécules ne sont pas toxiques pour l’homme. Comment peut-on demander aux fabricants d’être en même temps juge et partie ?

    Quel fabricant va dire que son produit est toxique ? Il est évident que toutes les conclusions d’études vont dans le sens de celui qui les finance ! C’est inévitable.

    Si on admet qu’une personne boit en moyenne 1,5 l/j, elle aura absorbé à 80 ans environ 43 200 l, ce qui représente un camion-citerne bien rempli. Combien de kilos de polluants contient cette quantité d’eau ? Je vous laisse faire le calcul... 

    La solution la plus efficace pour éliminer les résidus médicamenteux, toxiques est l’osmose inverse. Découvrez notre gamme complète d’osmoseurs sur notre site internet.

    WWW.JOSMOSE.FR

    Sources : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2010/12/22/10622-drogue-dans-reseaux-canalisation

      « Comment purifier et revitaliser votre eau de table » de Richard Haas :

    Ancien professionnel de la santé spécialisé dans les solutés injectables aqueux et ayant fait de la recherche sur l’eau en bioélectronique de Vincent (BEV) pendant des années.

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